PHYSIONOTRACE : BASTIDE JEAN-FRANÇOIS

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Portrait au physionotrace
dessiné et gravé par Quenedey
Après 1799

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UGS : WP-PHYS-037 Catégories : , , , Étiquette :

Description

Portrait au physionotrace de Jean-François BASTIDE
Dessiné et gravé par Edme QUENEDEY DES RICEYS ( Ricey-Haut 1756 – Paris 1830)
En uniforme de sous-préfet
Après 1799

Feuille : 105 x 80 mm
Coup de planche : 80 x 70 mm

Dictionnaire des parlementaires français (Robert – Bourloton – Cougny) :

BASTIDE (Jean-François), député à l’Assemblée législative de 1791, né à Grospierres (Ardèche), le 16 décembre 1754, mort à une date inconnu (24 avril 1825 à Grospierres selon wikipédia), était homme de loi puis conseiller à la sénéchaussée de Villeneuve-de-Borg avant la Révolution, dont il embrassa les idées. Nommé successivement membre du Directoire du département de l’Ardèche, agent national du district de Tanargues, il fut élu, le 4 septembre 1791, député de l’Ardèche à l’Assemblée législative, par 182 voix sur 344 votants. Il née prit pas une seule fois la parole dans l’Assemblée. Il devint ensuite juge suppléant au tribunal de cassation, et, après le 18 brumaire, auquel il donna son adhésion, conseiller général de l’Ardèche, et sous-préfet de Largentière.

Le physionotrace est une machine inventée en 1784 ou 1785 par Gilles-Louis Chrétien qui permettait de dessiner « mécaniquement » des portraits au pastel grandeur nature. Ces portraits, appelés « grand trait », étaient ensuite gravés à l’eau-forte sur une plaque de cuivre ou de fer blanc (réduit grâce à un pantographe). La plaque servait ensuite à imprimer une ou plusieurs douzaine de gravures appelées aussi « physionotraces ». Celles-ci, souvent en noir, pouvaient aussi être coloriées à la main ou imprimées en couleur. Ces portraits sont généralement réalisés en buste et de profil mais il existe de nombreux trois-quarts, quelques uns de face et au moins un portrait en pied. (voir wikipédia)

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