PELISSIER : MONSIEUR JOSEPH CAILLOT

80,00

Costume dans le rôle de Western
dans Tom Jones
1786

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UGS : WP-ACTH-012 Catégories : , , , , Étiquette :

Description

Monsieur Joseph CAILLOT
Rôle de Western,
dans Tom Jones

Courage, enfans ! de la joie
de la santé : le beau jour, la
belle chasse !

Eau-forte de PÉLISSIER (artiste non identifié)
Copie de la Gravure au lavis par Jean-François JANINET (Paris 1752 – Paris 1814)
d’après André DUTERTRE (Paris 1753 – Paris 1842)
pour Costumes et Annales des grands théâtres, en figures au lavis et coloriées
de Jean-Charles LE VACHER DE CHARNOIS (Paris 1749 – Paris 1792)
1ère année (1786) portrait n°6

Feuille : 215 x 140 mm
Coup de planche : 205 x 130 mm
Tâche brune en partie basse

Joseph Caillot est un comédien et chanteur français né à Paris le 24 janvier 1733 (paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois) et mort à Paris le 30 septembre 1816. Après avoir joué en province, notamment à Lyon, il débute au Théâtre-Italien de Paris le 26 juillet 1760 dans Ninette à la cour de Favart. Dans les opéras-comiques, il se révèle non seulement un acteur de talent mais également un excellent chanteur. Ensuite, Caillot se retire en 1772, ce qui ne l’empêche pas à l’occasion de remplacer gratuitement ses camarades malades ou empêchés. (source wikipédia)

Tom Jones est une comédie mêlée d’ariettes, forme d’opéra-comique, de François-André Danican Philidor créée au Théâtre italien de Paris le 27 février 1765. Le livret, d’Antoine-Alexandre-Henri Poisenet et Bertin Davesne est inspiré du roman éponyme de Henry Fielding. Mais, la pièce est d’abord un échec mais Philidor fait réviser le livret par Michel-Jean Sedaine. Cette nouvelle version, créée le 30 janvier 1766, s’avère un des plus populaires opéras comiques de la fin du XVIIIe siècle. (source wikipédia)

Catherine Baron et Gautier de Saint-Edme fondèrent l’Opéra-Comique le 26 décembre 1714, sous le règne de Louis XIV, à partir de troupes qualifiées de «foraines» qui se produisaient lors des spectacles donnés lors des foires annuelles de Paris. L’une des troupes de la foire Saint-Germain prit alors le nom d’Opéra-Comique. Son répertoire était surtout constitué de pantomimes et de parodies d’opéras afin de déjouer les interdictions dont ils étaient frappés à la suite de procès intentés par la Comédie-Française, inquiète face à la qualité montante des spectacles qui lui portait directement concurrence. En 1714, un décret autorise la troupe à avoir son propre théâtre avec une contrainte : intercaler des dialogues parlés dans les œuvres chantées. C’est la définition actuelle de l’opéra-comique.
Les débuts de l’Opéra-Comique sont difficiles et connaissent plusieurs périodes de fermeture, de 1719 à 1720, puis de nouveau de 1722 à 1723. En 1743, Jean Monnet prend la direction de l’Opéra-Comique et invite l’auteur Charles-Simon Favart. Le succès est au rendez-vous, mais fait ombrage aux autres théâtres parisiens. Pour y remédier, les autorités provoquent une nouvelle fermeture de 1745 à 1751. Cette année-là, la ville de Paris obtient la réouverture de ce théâtre, toujours sous la direction de Jean Monnet. En janvier 1762, l’Opéra-Comique de la foire fusionne avec la Comédie-Italienne. Il déménage alors le 3 février 1762 à l’hôtel de Bourgogne. En 1779, la « Comédie-Italienne » devient « Théâtre-Italien », mais la troupe ne comporte déjà plus aucun Italien. Toutefois, en 1780, l’ensemble reprend officiellement le nom d’« Opéra-Comique ». (source wikipédia) Voir aussi cette fiche wikipédia.

Jean-Charles Le Vacher de Charnois (né à Paris le 14 mars 1749, où il est mort le 2 septembre 1792 à la prison de l’Abbaye, lors des massacres de Septembre) est écrivain, journaliste, dramaturge et critique théâtral français. (source wikipédia)

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