MEYER : ANDRÉ MASSÉNA

80,00

Gravé par FORGET
publié par MEYER
Entre 1810 et 1815

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Description

Portrait d’André Masséna
Prince d’Essling, Duc de Rivoli, Maréchal de l’Empire,
Décoré du Grand-Aigle de la Légion d’honneur.
pour la collection complète des portraits des Grands aigles et des grands officiers de la Légion d’honneur
Gravé au pointillé par FORGET
Publié par MEYER
A Paris, chez l’Auteur, rue de Touraine, Faubourg St Germain N°5
Colorié au pinceau
Entre 1810 et 1815

Feuille : 285 x 200 mm
Coup de planche : 220 x 150 mm
Marque de collection au verso non identifiée

André Masséna, 1er duc de Rivoli et prince d’Essling. Il est né le 6 mai 1758 à Nice (alors dans le comté de Nice du royaume de Sardaigne). Il est mort le 4 avril 1817 à Paris. C’est un général français de la Révolution et de l’Empire. Il est élevé à la dignité de maréchal d’Empire par Napoléon en 1804.
André Masséna commence sa carrière dans l’armée de l’Ancien Régime où révèle ses capacités militaires lors des guerres de la Révolution française. Il s’affirme alors comme l’un des meilleurs généraux de la République. Il a été le principal lieutenant de Napoléon Bonaparte pendant la première campagne d’Italie, où il contribue de façon décisive aux victoires d’Arcole et de Rivoli. Masséna y remporte en 1799 la deuxième bataille de Zurich dont les répercussions stratégiques sont considérables pour la France.
Sous l’Empire, il continue de faire preuve d’une grande compétence dans ses divers commandements, tant sous les ordres directs de Napoléon qu’à la tête d’une force indépendante sur des théâtres d’opération secondaires. En 1805, il se bat une nouvelle fois en Italie, envahit peu après le royaume de Naples et joue un rôle majeur au cours des batailles d’Essling et de Wagram en 1809. Cependant, son échec au Portugal face aux Anglais de Wellington l’année suivante lui vaut la disgrâce de l’Empereur qui ne lui confie plus aucun poste militaire d’envergure durant l’Empire. Rallié aux Bourbons à la Restauration, il meurt peu après à l’âge de 58 ans.
Doté d’un solide sens tactique et stratégique, capable de faire preuve à la fois d’énergie et de prudence dans l’exercice de son commandement, Masséna jouit de l’estime de Napoléon qui le considère comme son meilleur subordonné, allant jusqu’à le surnommer « l’enfant chéri de la victoire » pour son brillant comportement à la bataille de Rivoli. Sa réputation est cependant ternie par ses faiblesses morales, sa cupidité et son goût pour le pillage. (source wikipédia)

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