Description
Portrait de Jean-Paul Marat, L’Ami du Peuple
Député à la Convention Nationale, Né à Genève en 1743, assassiné le 13 Juillet 1793 et élevé aux honneurs du Panthéon.
Ami Zélé du Peuple, il étoit son flambeau,
cent fois il l’éclaira sur le bord de l’abime.
des Titans confondus MARAT fut la victime,
mais MARAT glorieux les entraine au tombeau.
Gravure originale d’Henri GÉRARD (1755 – 1835)
A Paris chez Gérard, Graveur, rue des Bernardins N°32
et chez Bance, rue St Severin N°115
Épreuve avec le cachet de la collection Jean – Louis Soulavie (Lugt 1533)
De Vinck 5252
Inventaire du Fonds Français n°5
1794
Feuille : 515 x 405 mm
Coup de planche : 490 x 390 mm
Pli central d’un ancien montage sur onglet
De Vinck :
5252. « J. P. Marat, l’Ami du Peuple // Député à la Convention Nationale, Né à Genève en 1743, assassiné le 13 juillet 1793, et élevé aux honneurs du Panthéon… » Buste, le visage tourné de trois quarts à droite, dans une bordure ovale à encadrement rectangulaire sous lequel on lit, à g. « H. Gerard Del. »; à dr. : « H. Gerard Sculp. ». Au bas, sous un quatrain, qui commence ainsi : « Ami zélé du Peuple, il étoit son flambeau… », l’adresse : « Paris chez Gerard, Graveur; rue des Bernardins N°32 – et chez Bance, rue St Severin N°115. »
Gravure au pointillé, par H. Gérard
Jean-Paul Marat, né le 24 mai 1743 à Boudry (Principauté de Neuchâtel) et mort assassiné dans une baignoire le 13 juillet 1793 à Paris, est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français. Usurpateur de noblesse avant la chute du régime monarchique, il devient député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Son assassinat par Charlotte Corday permet aux hébertistes de faire de lui un martyr de la Révolution et d’installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon. (source wikipédia)
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