Description
Portrait au physionotrace de M. ALEXANDRE
Gravé par Gilles-Louis CHRÉTIEN (Versailles 1754 – Paris 1811)
d’après le dessin d’Edme QUENEDEY DES RICEYS (Les Riceys 1756 – Paris 1830)
Portrait cotée G9 de la 1ère série (Juillet 1788-Août 1789)
Hennequin 3 : « ALEXANDRE (G9, re, à dr.; 28 à 30 ans) Nom trop commun pour que le portrait puisse être identifié sans renseignements complémentaires. A Alm. de Paris notamment, figurent sous ce nom un banquier, un maître des requêtes, un agent de change, à la famille de l’un desquels le personnage aurait pu appartenir. Peu de temps après celui-ci, les portraits de deux autres MMrs Alexandre ont été gravés par Quenedey (K56 et K59). »
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Dimensions : 2512 x 2442 pixels
Résolution : 1200 x 1200 pixels
Le physionotrace est une machine inventée en 1784 ou 1785 par Gilles-Louis Chrétien qui permettait de dessiner « mécaniquement » des portraits au pastel grandeur nature.
Ces portraits, appelés « grand trait », étaient ensuite gravés à l’eau-forte sur une plaque de cuivre ou de fer blanc (réduit grâce à un pantographe). La plaque servait ensuite à imprimer une ou plusieurs douzaine de gravures appelées aussi « physionotraces ». Celles-ci, souvent en noir, pouvaient aussi être coloriées à la main ou imprimées en couleur.
Ces portraits sont généralement réalisés en buste et de profil mais il existe de nombreux trois-quarts et au moins un portrait en pied. La publicité mentionne la possibilité de réaliser le portrait de face.