CRESPY LE PRINCE : MARÉCHAL VICTOR (Téléchargement)

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Duc de Bellune
Major Général de la Garde Royale de Louis XVIII
Lithographie de CRESPY LE PRINCE
1818

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Description

Portrait du Maréchal Victor
Duc de Bellune
Major Général de la Garde Royale de Louis XVIII
Lithographie originale du baron Charles Édouard CRESPY LE PRINCE (Paris 1784 – 1851)
Inventaire du Fonds Français n°3 Œuvre de Le prince p.24
1818

Des Sages des Guerres Digne et parfait model
Il n’écouta jamais que la Voix de l’honneur
à la patrie à son prince fidèle
il est comme Bayard sans reproche et sans peur

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Claude-Victor Perrin, dit Victor, duc de Bellune (1808), né le 7 décembre 1764 à Lamarche dans les Vosges et mort le 1er mars 1841 à Paris, est un général français de la Révolution et un maréchal d’Empire. Tambour dans l’artillerie en 1781, puis grenadier dans la Garde nationale, l’ascension de Victor sous la Révolution est rapide : il est général de brigade à l’âge de 29 ans et fait avec brio la campagne d’Italie, ce qui lui vaut d’être remarqué par Bonaparte. Il gagne ensuite son grade de général de division et obtient le commandement en chef de l’armée de Batavie sous le Consulat. Il est également ambassadeur au Danemark de 1804 à 1806.
Rappelé à l’armée, son intervention décisive à la bataille de Friedland, le 14 juin 1807, détermine l’Empereur à élever Victor à la dignité de maréchal d’Empire. Ce dernier est envoyé peu après en Espagne à la tête d’un corps d’armée, y alternant les succès — Espinosa, Uclès, Medellín — et les revers — Talavera, Chiclana et Cadix. Napoléon le rappelle à ses côtés en 1812 pour lui confier le 9e corps d’armée en vue de la campagne de Russie. En dépit de quelques échecs face aux forces russes, Victor s’illustre lors du passage de la Bérézina en résistant pied à pied aux attaques russes pour protéger la retraite de l’armée. Après avoir servi pendant les campagnes d’Allemagne en 1813 puis de France en 1814, il est grièvement blessé à la bataille de Craonne et n’exerce plus aucun rôle jusqu’à la fin des hostilités.
À la Première Restauration, Victor se rallie à Louis XVIII et le suit à Gand pendant les Cent-Jours. En récompense de sa fidélité, il est couvert d’honneurs et de décorations, et en 1821, fait son entrée au gouvernement en qualité de ministre de la Guerre. Il continue à servir sous Charles X mais refuse de prêter serment à Louis-Philippe en 1830. Il vit alors dans la retraite. Napoléon a émis ce jugement à son propos : « Victor est meilleur qu’on le suppose. Au passage de la Bérézina, il avait tiré très bon parti de son corps ». (source wikipédia)

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