Description
Portrait de Pauline VIARDOT
dans le rôle d’Orphée
pour l’opéra « Orphée et Eurydice » de Christoph Willibald GLUCK
Version révisée par Hector BERLIOZ en 1859
au Théâtre Lyrique
Gravure d’Edmond MORIN (Le Havre 1824 – Sceaux 1882)
d’après le dessin de S. ou G. DUMONT (artiste non identifié)
1859
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Dimensions : 5468 x 7854 pixels
Résolution : 600 x 600 pixels
Planche n°216 d’un recueil présentant les portraits des personnalités du 2nd Empire
Pauline Garcia, connue sous le nom d’épouse Viardot, née le 18 juillet 1821 à Paris où elle est morte le 18 mai 1910, est une cantatrice (mezzo-soprano) et une compositrice française d’origine espagnole, sœur de la Malibran. En 1859, elle triomphe de nouveau à Paris, au Théâtre-Lyrique, dans Orphée, une version de l’Orphée et Eurydice de Gluck spécialement remaniée pour elle par Hector Berlioz. (source wikipédia)
Orphée et Eurydice (titre original en italien Orfeo ed Euridice) est le trentième et plus célèbre opéra de Christoph Willibald Gluck. Il s’agit d’une azione teatrale per musica, ou, selon les indications de la version française, d’une tragédie opéra (drame héroïque)4 en trois actes. Il raconte le mythe grec d’Orphée et Eurydice.
Hector Berlioz dut procéder à un remaniement pour permettre à la mezzo-soprano Pauline Viardot de chanter Orphée. La première eut lieu le 19 novembre 1859 au Théâtre-Lyrique, à Paris. (source wikipédia)
Le Théâtre-Lyrique est le nom qui fut donné successivement à plusieurs salles de spectacle à Paris, au XIXe siècle : la première, située au 72, boulevard du Temple (aujourd’hui 10, place de la République, Paris 11e). Cette salle, inaugurée en 1847 sous le nom de Théâtre-Historique, devenue Opéra-National en 1851, rebaptisée Théâtre-Lyrique en 1852, disparut en 1863 lors du percement de la place de la République dans le cadre des transformations d’Haussmann. (source wikipédia)